4 juillet 2007

Bonus de douze heures

Et j'aurais tant aimer plus encore...

C'est les doigts tremblotant et la larme à l'oeil (c'est très serieux) que j'essaie de régider ces quelques lignes. Aujourd'hui ce sont écoulées les trois heures les plus indescriptibles de notre longue vie d'élève. Trois heures durant lesquelles la carapace du plus inoubliable des profs d'histoire a complètement volée en éclats.



...

Le soucis, c'est que j'arrive pas à aligner trois phrases sans verser une larme. (il a de quoi être fier le Chouchou) Donc esseyons de ne plus y penser, de se dire qu'on le reverra (ça c'est certain) et que les relations seront semblables exactement pareilles identiques de même.

Qu'ajouter de plus ? Qu'on l'aime ? Il l'a tant entendu, tant lu, que ça ne doit plus lui dire grand chose. Sauf peut-être si on vient lui rappeller, tous les ans, à la même date...




Comment peut-il croire qu'on l'oubliera un jour ?


[Message à terminer sans fondre en larmes...]

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Voilà je suis encore plus triste qu'avant parce que en écoutant les paroles de cette chanson (que je ne connaissais pas) je m'apercois qu'il nous aimait vraiment enormément ! Je m'en doutais mais pas à ce point, je pense qu'il n'y aurait qu'une chose à rajouter: "C'est réciproque !"
Camille