21 septembre 2008

This could be heaven


Alors oui, le chemin sera long...



... Et vous vous direz, "que c'est beau, mais y'a personne !" ...


... Et je vous dirais "C'est ça qu'est bon" ...

... Ça sera sûrement ma demeure...


...Où je serais bien...

... enfin...






...Loin des viles personnages, près de la mer, avec mon serveur
qui m'offrira un océan de bières.

17 septembre 2008

Summer '08

"Je suis pleinement consciente de mes moyens."

"John Attends !!" (Péky - sobre)

Lise :

"Attends, j'fait tomber des chips"

"Mes yeux, ils se ferment tous seuls"

"Chui parfaitement consciente que c'que j'dis c'est de la merde, mais d'une aut' côté j'trouve que c'est pas de la merde... non ?"

"En fait, c'qu'est dur c'est de freiner, parce quand chui lancée, ça va."

"Hé, vous allez m'considérer pareil après ?"

"Mes parents, c'est des merdes."

"Drunat, il matte tout le temps !"

"Mais va t'faire enfoncer deux queues à la fois toi ! C'est horrible, t'as mal et t'as la chatte en choux-fleur !"

"Filme pas, faut pas que les gens ils sachent !!"

"Non Constance, il faut pas qu'on soit bourrées en même temps sinon on va coucher ensemble !"

"Chui pas morte, chui bourrée"

"Perrine, j'te r'connais pas ! T'as pas la même tête, t'as pas les mêmes cheveux !"

"Faut que j'trouve une grosse lesbienne chaude !"

"Sans rire, ma mère a cherché ce qu'elle cherchait."

'J'te demande où est la vodka, tu m'réponds nan. C'est pas logique. J'te demande quelle heure il est et tu m'dis 200 kilos ?!"

"Il sait pas c'qui rate."

" Lise : Je sais qui c'est qui sera en ville...
Perrine : Qui ?
Lise : Je sais pas."

"J'suis pas contaminente !"

"Perrine, c'est un ensemble."

Moi-même :

"J'peux pas péter, j'suis trop pudique."

"Rejoins-moi dans le monde paradoxal des gens bourrés."

"En fait c'est comme un Pacman sauf que c'est Austin Power."

"Ouais dans un canapé inconnu !"

"Malénie !!!"

"Ha ha ha...(rire bourré) j'trouvais pas ma bouche."

Camille :

"J'aime les tapettes !"

"J'suis pas déchirée... ben non j'suis pas déchirée !"

"C'est pas moi le sac à merde c'est toi qui pète tout le temps." (notons une conversation pipi-caca)

"Moi, j'la garde dans la bouche et après ça pique."

"Moi j'veux tout lâcher c'qu'est là" (désignant son coeur, mais du côté droit)

"Jo c'est qu'une petit tapette mais l'était important, mais l'était pas beau !"

"De tout façon c'est qu'un puceau... UN GROS PUCEAU !!!"

"Jonathan, j'le déteste, et j'me déteste mais j'laime et j'aime pas !"

"J'tai tout dis, j'tai parlé d'pleins de trucs ! Bon en fait je t'ai pas dis c'qui vient d'se passer, parce que j'le savais pas..."

15 septembre 2008

Nous avons 16 ans,
la seule chose dont nous devrions nous occuper, ce sont nos études, notre avenir, nos crayons de couleur - au moins 4 pour pas tomber en rad' pendant un coloriage de carte.

Mais non, on s'encombre d'occupations, d'hobbies, pour se sentir moins vide.
Et lorsque dans ce monde là, ça chie, un miracle de la physique cantique se produit : ça chie dans les deux mondes.

Soyons serieux, oublions l'amour, fixons nous la Sorbonne.

12 septembre 2008

Aussitôt dit, aussitôt fait

Ayé, je suis comme eux.





6 septembre 2008

People are mads

Après ces deux jours de brusque reprise, je parcours les blogs, histoire d'oublier que je m'ennuie.

Chacun à ses doutes, ses joies, ses peines, son actualité, dans la plupart des cas mauvaise. (je pense successivement à Mathieu, Adèle, Lise, et Sixtine)

Dans tout ceci, je suis comme un narrateur, je regarde évoluer mes personnages, sans influer sur leur vie. Je laisse mes Sims en mode autonome, pendant que je me fait péter le foi avec des liquides venu d'une autre galaxie ou la quantité ne se mesure pas.

Il n'y a plus rien qui me réjouisse ; j'attends que le temps passe, j'imagine ma pauvre vie d'ici 10 ans. Je visualise un savant mélange entre celles de Sixtine, de Charlot, et de [H]ouse.
Eux n'ont pas à se soucier des autres. Ils sont égoïstes et narcissiques, égocentriques et solitaires.
J'admire leur caractère charognard ; et pour ça, ça me donne envie de rester encore un peu... une dizaine d'année peut-être.


The madman's muse...


Some said about me that I was reserved.
People considered me like a social mifist ;
Too introverted, and a bit weird.
But the others didn't know I existed...

Invisible, lacking of consistency, I was nothing.
Alone for a long time, I fled
Deep into my drink, meeting again a fairy,
Only dressed in green, me, the incompetent...

For this new love, I've stopped working.
To devote me to her only... What a fool...
I should have stopped and left her, that's all.
But, addicted to this love whithout any flaw,

I contemplate her, without saying a word, drinking
Her words, so sweet ; as her mouth...
Kissing her, the window open, I'm stumbling...
A momentary lapse of eternity before the nothingness...

...La Fée du Fou.