18 décembre 2007

Sprint final (et digotomie)

Ayé, c'est la dernière semaine.
Et à l'heure où j'me parle, je sors de la réunion parents / profs.

Ma mère et moi avons, dès le collège, su prendre les bonnes habitudes : limitons nous aux matières "littéraires" - puisque nous savons très bien toutes deux que je suis une buse dans les autres matières et que la moindre entrevue avec éventuel prof de Sciences me découragerait plus qu'autre chose (et croyez-moi, il en faut peu).

Alors bon, stratégie mise à l'épreuve maintes fois au collège, on réitère la chose au lycée :
- Histoire Géo (pas prévu) : une Brigitte adorable (O.o ?), limite qui me complimente. Mais n'allons pas trop loin, elle souligne juste que durant son cours (et là j'introduis un nom de famille passe partout) ma gueule fait 4 mètres de long - et que, en gros, si elle avait à faire à des élèves comme moi de 8h à 18h, elle se tirait une balle. (le premier rang c'était une mauvaise idée, j'le savait dès le début)
- Français : différent des autres années. On commente la classe, je cite Danièle pas contente : "Croyez-moi Madame, tout ceci va cesser". Huhu. (notons que D. aime Kaamelott, c'est important)
- Histoire des Arts : discussion de 20 minutes montre en main entre elle et ma mère. (notamment sur l'Education Nationale - fonctionnaires révoltez-vous, réformes et autres souvenirs du Lycée)

Mais ce qui me restera le plus de ce mardi 18, c'est la bise que ma mère fit au CPE. (ou je ne sais quelle autre fonction il a)
Putain, ils sont intimes...

Le truc rassurant de la soirée (le seul d'ailleurs), c'est que, d'après la prof d'HiDA, je ne me suis pas trompée de voie.
Donc, mes rêves d'Hotesse de caisse s'évaporent... *soupir*

PS : Ma sincère compassion pour Alexis (courage, bientôt tu sera en S va) et Delphine. (...)




Merci derien, aurevoir messieurs dames

13 décembre 2007

Les collègues de biture

L'alcool c'est mal.
C'est un peu moins mal quand on trouve des gens qui partagent cette soif (huhu, j'ai fait un trait d'humour). Après moults moments de solitude intense pendant les cours - où je songeais à ce week-end que j'allais, de nouveau, passer presque-seule, moi et ma boisson favorite - je fut prise au dépourvue par une jeune fille répondant au nom de Marine. (une de plus)

Cette fille là, elle aime l'Angleterre. (déjà, bon point) Les pays nordiques aussi. (très bon point), et surtout surtout : la biture.
La bougre aime la chouille, la teuf, mais elle, elle est jamais seule. (parce que "Maryn" elle a pleins d'amis)
Elle dit qu'elle devrait tenter, pour voir - mais non, moi j'lui affirme : c'est pas marrant, on se fait iech.

Alors bon, elle m'a dit, à moi, que la prochaine chouille je serais convié : wait and see, on va voir si elle me supporte d'ici là.

Autre collègue - mais celle là ce ne fut pas une grande surprise - Julie.
Sa phrase favorite tiens en quatre mots : "J'ai envie de chier / pisser / péter". Merci Julie.
Alors au début c'est étonnant, ça vous laisse sans voix, voyez. Mais à force on s'y fait.
Elle, elle a une copine, qui est pire que tout niveau soulage.
Elle a un copain aussi, assez sympa. (la seule fois où j'ai "fumée" - soyons rebelles... - avec eux)

Pis ché pas, Julie elle m'aime bien. Elle me fait des jolis caca(s ?) sur mon trieur. Merci Juliiie.


Attends donc les prochaines vacances avec impatience pour petite biture entre 503. (and maybe with Shirley - le retour ! =D)

9 décembre 2007

Middle of Nowhere totale...

Le titre est assez parlant, à mon sens...
...Je lui laisse la place, à cette fille qui a tout pour elle.


PS : N'allez jamais au marché de Noël, seul(e).

20 novembre 2007

A la découverte de la notoriété

Alors voilà, on attaque la partie de l'année que, scolairement parlant, j'aime le moins : le second trimestre / l'hiver.

Et pour bien commencer cette période néfaste, quoi de mieux qu'un bon cassage de gueule en plein milieu du self ?
Beaucoup d'hypothèses m'ont traversés l'esprit au moment précis où mon coxys heurta le sol : est-ce Gladys, ma collègue de blondeur qui a honteusement écartée ma chaise ? ou bien un acte de sorcellerie serait responsable de cet incident ? Alain Fournier serait en fait un Poudlard Berrychon ?

Plus tard, une fois le calme revenu dans le self, et lorsque tous les gens que je connaissait furent passés pour me demander si mon postérieur se portait bien (ui ui, merki), je pu enfin prouver que non, c'était pas ma faute, mais celle de la chaise qui basculait en arrière, de part l'absence de 2 pieds.

Après ce fâcheu événement, je pu enfin comprendre, l'espace de quelques heures, ce qu'était la célébrité, la gloire et la notoriété : tout le monde vous regarde, commente (et rit ?).
Bon en l'occurrence moi c'était plutôt de la messe-basse et du racontage du pourquoi du comment cette fille là elle s'était ramassée la honte du siècle… de onze heure, heureusement d'ailleurs. (midi étant l'heure de pointe)

Pas grands évènements dans cette vie si follichone qu'est la mienne sinon.
Le Tour du Val d'Au, Dimanche qui nous emmena, Cartman, Mumu et moi-même à rencontrer Cisheure, sa collègue, Dédé-Monk, Adèle, son copain, son chien, ses parents, La Bonneaud (agonisante), et Catherine, avec des gens qui courent longtemps en tenue moulante.

Aujourd'hui c'était grève, c'était bien, quatre heures de cours, suivit d'une escapade à St Germ qui fut très courte, puisque bus avec Lise et Alexis, puis go to the Regretté Collège, secrétariat, me suis faite gueuler dessus par la dame parce que ma carte d'identité est toute périmée (" Tu pars en Angleterre ?! Ah mais faut se dépêcher sinon tu pourra pas partir !! Nan mais tu vas le rater ton voyage franchement "), et là, the choc : apercevage de Cricri descendant les escaliers (cet homme n'a t-il jamais cours ?) et sprint vers la salle des profs.
Ce lieu étant toujours prohibé dans nos esprit d'anciens élèves, Lise et moi avont longtemps hésité avant d'entrer, entendant la voix douce et sensuelle de Patoche qui racontait visiblement une histoire tordante de rire (à en juger par la tronche de Delec). Donc nous ne sommes pas entrés, et avons très simplement marché vers la sortie.
Après quoi j'ai du courir pour rattraper la voiture de mon bien aimé frère pour pouvoir rentrer chez moi - prenant juste le temps de dire aurevoir à Bérangère et Samia : TROP LES BOULES.

Ps : toujours pas les toph's du 16, navrée.

6 novembre 2007

Une citrouille, deux citrouilles, trois cit…

Un petit bilan des ces (lonnngues) vacances de Toussaint s'impose.
Qui aurait pu deviner que, après décalage horaire auquel je suis naturellement tout à fait adaptée, hé ben il ne se passerait strictement rien pendant ces presque-quinze-jours.

Alors oui, tout de même, nombreuses furent les heures de réflexion sur la personnalité complexe et complète d'Hercule Poirot, confrère Belge auquel je dois beaucoup. En effet, c'est principalement grâce à lui que mes journées furent moins profondément chiante.

Et comment ne pas évoquer le nouveau DVD Live d'ELLEGARDEN, vu et revu quatre fois de suite. Parce que je les aime, et que quand on aime on ne compte pas. TROP L'EXTASE

Fais la rencontre de Corinne, charmante quadra qui se démène seule, dans un salon de coiffure tout pitit pitit, et dont les seuls plaisirs se résument en trois points :
- son chien
- sa vitrine
- les cheveux des gens

Re-vue Bruno, employé modèle (et presque grand-manitou) de chez Affrelou (siiii, Tchin-tchin et tout) - galerie marchande Carrouf' - adorable. N'a cessé de se foutre de ma gueule d'adolescente révoltée contre la société et le système de consommation qui... p***** combien les lunettes ?!! TROP RELOU.

Ai également beaucoup compatis pour Sixtine, modèle de la profession pédagogique, qui m'a toujours fait délirer, mais que malheureusement elle a traversé la periode pas drôle de la quarantaine mal assumée, que donc j'lui ai envoié un mail et qu'elle était super contente, et que même j'ai mon pseudonyme écrit dans son blog à elle, une réponse sur ma boîte mail et tout, nananana. TROP CLASSE.

Bien sûr il y a eu, avant ces rencontres trépidantes, la visite à Azy.
Oui, encore oui.
Mais cette fois ci le programme fut moins cycliste, moins physique, plus " musical ".
Alors oui, c'est vrai que la guitare de Clara ne faisait pas vraiment ce qu'on pouvait appeler de la musique hein, au début. (merci les accordeurs électroniques, trop géant la technologie !)
Un exceeeellent week-end parmi les bêtes et où j'ai assouvit l'un de mes rêves les plus profond : éclater un gamin de 8 ans (tout pile) contre un mur.
Courage Lancelot, bientôt tu sera trop grand pour que l'on te porte. =)

En évoquant Lancelot (et là je fais un rappel, voyez), me suis faite et refaite l'intégrale de Kaamelott avant l'épisode de Lundi soir, se finissant en eau de boudin mais grave.
Moralité : Astier, trop bon.

Refaits aussi tous les albums de Queen et des Weezer, qui collent tout à fait à la saison, je trouve.

J'aimerais aussi marquer " bossage intense ", mais c'est faux.
J'ai bossé, enfin, j'ai médité sur le monde, le Darfour et l'Automne quoi.
Jusqu'à ce qu'on (Alexis, Lise, Emma, et par erreur puisqu'on s'est malencontreusement croisées, Julie) m'oblige à travailler. Médiathèque, lieu dans lequel je n'avais pas foutu les pieds depuis ma tendre enfance, ce temps bénit où le logement était notre maison, où St Germain était notre village, où on (mon frère et moi hein) était trop mignon, où je faisait mes premiers pas dans le gravage (Queen, encore), et surtout où mon père était aux abonnés absents. Bref, que de souvenirs.

Demain c'est Creuse, TROP HÂTE !
(laissez moi vous dire que les photos, ça va y aller)
(celles d'aujourd'hui viendront plus tard)

16 octobre 2007

16th

En attendant les photos,
réactions à chaud de l'évènement de cet automne : "Cwicwi" (en tournée dans tout Rians ><)

Nous n’étions que quatre à son arrivée : Guillaume, Pierre, Alexis et moi-même, puis ont débarqué Sarah (et j’sais plus qui en fait) s’en ai suivit tout pleins de gens, notamment ceux qui finissaient à 18h, qui avaient peur de le rater et qui finalement se tapèrent un sprint d’enfer pour rejoindre les grilles du collège.

Bref, toujours est-il qu’à 18h une bonne petite foule s’était pressée autour de l’intéréssé du jour (et pas que). Vingtaine de personnes qui bien vite se dispersèrent au grès du bon vouloir des parents.

Les photos témoigneront du nombre de cadeaux qu’il a eu, et de la façon dont nous le cernions, des sourires de tueur, et pas que…

Je regrette déjà ces deux heures passées ensemble, à revoir tout le monde, et à rire surtout comme je le disait hier.

J’veux des 16 octobre comme ça tous les ans.
Prochaine étape avec le monsieur : un cours made in Cricri rien que pour nous ?

Affaire à suivre… (bien que le délais soit un peu trop long à mon goût mais bon, on va pas chipoter)


[Lien vers photos pour tous les gens prochainement.]

15 octobre 2007

Historic Birthday

Mardi 16 Octobre,
Il reste donc 77 jours avant la fin de l'année 2007.
8ème anniversaire de l'arrivée du viagra dans les pharmacies françaises ;
14ème anniversaire du Prix Nobel de la Paix de Nelson Mondela ;
Le début de l'exil de Napoléon à St Helene ;
Anniversaire de la Sainte Alliance ;
Anniversaire d'Elena Dementiava ; et par dessus tout :

Anniversaire de Monsieur Cricri chéri-choux !!


De quoi nous rebooster pour la rentrée ! Une occasion de tous se revoir, notamment ceux qui sont partis en lycée professionnel, de le vaner, de rire, de le complimenter, de rire, et de rire encore jusqu'à ce que les 18h30 viennent nous rappeler qu’il faut parfois savoir grandir et que nous repartions chacun de notre côté.

Pour mieux le regretter les jours suivants, ressortir sa panoplie du Spleen, comme ce fameux mercredi, ou après des heures passées ensemble, nous nous sommes tous évanouis dans les méandres des vacances.
On aura le blues, c’est indéniable et prévisible, mais puisqu’il ne sera pas toujours là, autant en profiter.

Justine, ses cartes à jouer, ses posters et sa trousse ridicule ; Pierre, Guillaume et leur chanson (dont j’ai hâte d’entendre les paroles) ; Marion, Anaïs (et moi-même) et leur cheval ; ainsi que Clara et sa plante qui va finir par le bouffer si les tapettes à mouches déciment toutes les bestioles de la 117 ; Cartman et notre humble présent ; sans compter tous ceux dont on ne connaît pas les cadeaux.

Une bonne petite journée en perspective, et devinez quoi : c’est demain.




10 octobre 2007

Délinquance juvénile

Joies de la responsabilisassions des Secondes : impossible de trouver le temps de prendre quelques photos ; plus possible non plus de manger des pommes, (peut-être depuis le jour ou Lise à bouffer des vers dans la sienne), de visiter les blogs, et en prime mes graines ne poussent pas, bordel !

Le train-train lycéen prit, tout devient banals, nan vraiment, voyez plutôt :

Lundi, j’ai boycotté le bahut. Je puais la fatigue, la faignantise, alors à la place j’ai fait du ménage. (quelqu'un a dit « comme d’hab » ?)
Me suis shootée au Cilit’, à la poussière du grenier, rien d’extra. La seule chose que j’ai aimé ce lundi là, c’est imaginer mes petits camarades en cours de maths.

Et quel cour j’ai raté ! Paroxysme de l’insolence, du je m’en foutisme !
Bruit d’animaux en tout genre, portables, photos, vidéos, ouverture de porte intempestive, brayages et surtout, la cerise, pétage de plomb Lamouresque : je m’en suis voulue d’avoir raté ça…


Mardi. Trop à chier
Le seul cours qui aurait pu bien se passer fut une heure d’Histoire particulièrement chiante, avec une thématique ennuyeuse. Seule chose que j’ai aimé ? Noter le nombre de fois où cette chère professeur prononça les mots « en effet » et ravala sa salive en soulevant le coin supérieur droit de ses lèvres – charmant.

Aujourd’hui, mon cours préféré : le français.
Seul bémol, et pas des moindres, prof’ chouchoute n’était pas contente.
La première heure qui, d’habitude, est tordante de rire, fut 55 minutes de pur bossage intense. Quoi qu’est-ce ? « Bossage » ? Le binnnn’s !!
La deuxième heure en revanche fut riche en révélations, avec une visite exceptionnelle de Monsieur le Proviseur qui, soulignons le hein, c’est important, ne vient jamais voir les classes à l’accoutumé, mais là c’était parcequ’on était vraiment des p’tits branleurs.

Non, c’est pas ça la révélation, na. C’est, paraît-il, que L(« )amoureux chérit est, ‘y paraît, un excellent prof.
Voilà, c’est dit, je vous laisse méditer.

Blague à part, au prochain écart on est notés, bilantés par les profs, et exclus pendant quelques jours. C’est très tentant, oui, mais non.

Voilà voilà, sinon premières notes (à iech) qui vont retourner au collège et donc dans les mains de Chouchou (& Cie.) trop la honte…

Moralité : Gens, faut bosser.



NOTE : Prochain article sur les préparatifs du Cricri's birthday ?


23 septembre 2007

Jeannette's Bathroom

En cette première nuit d'Automne, je me pose une question qui m'a retournée la tête toute la semaine précédente, la première passée chez ma grand-mère : Comment fait-elle pour vivre dans un truc pareil ?

Mesdames je vous le demande - comment, lorsque les araignées, la poussière, le calcaire, les poils de chats font partis intégrante de votre hygiène - faites vous pour vous lever chaque matin ?

Étant, à mes dépends, devenue une maniaque shooté au Cilit'Bang (notons qu'il faut absolument écouter des trucs moisis en nettoyant avec du Cilit'), je me dis tous les matins qu'il faut absolument que je récure cette pièce.

Un soir, ne tenant plus, je l'ai fait. Assez superficiellement, car au bout de 5 minutes, soulevant une vieille serviette qui ne devait pas avoir bougée depuis une décennie, une nuée d'araignées m'attaqua.

"Suce à l'ennemiiiiii" qu'elles criaient les Marta*.
Comment j't'ai viré ça moi.
J'ai bondi, les pieds joints sur le nids, écrasant en un fraca gluant les pauvres petites arachnées, éclaboussant mes Converses d'un jus noir et visqueu. (bon appétit, bien sûr)

Horrifiée, j'ai laché les armes et reporté la prochaine attaque à la semaine suivante, soit, cette semaine.
Dans mon agenda de ministre, (dixit Clara) il y a donc maintenant une place pour :



MERCREDI
Nettoyage complet de la bathroom.
(eau de Javel, torches, pioches, gants, chalumeau, dératiseur)



Donc, Mercredi, va pas falloir m'faire chier.


*Nom de ma feu araignée qui accompagnait mes cours de Physique et d'SVT il y a de ça 2 ans...

22 septembre 2007

The Autumn Song

Aujourd'hui fut un grand jour.
De part une rencontre tout à fait marquante pour mes ambitions futures : Madame Delattre.

La FNAC a du bon, en fait. Car c'était une occasion unique de se replonger dans l'époque où nous étions jeunes, insouciantes, parfaites inconnues, et trop mal organisées Cartman et moi.
Une femme tout à fait adorable / folle, que j'ai toujours rêvée de revoir, elle et sa Chrysler, indisociables dans mes souvenirs. C'est chose faite.
Un modèle de prof' dans le coup, branchée et qui renouvelle toujours sa pédagogie, Delattre Attitude. =)



Sinon, demain :


Ouais, c'est ma chouille (mais tout le monde s'en branle l'oeil puisque c'est le jour du Seigneur) - mais pas que ! Parce que, oui, chers amis,

c'est l'Autoooooooooooooomne !!!!!!!!!

THE saison qui tue, qui commence à faire froid et qu'on peut se foutre dans les couvertures et tout. Que les feuilles elles tombent et pis que y'a des jolies couleurs. Que le soir il fait nuit super plus tôt (youpiiiiiiiiiii) du coup qu'on a super le temps de voir des supers couchés de soleil. Par contre, que le Monsieur Soleil il est pas encore levé que quand NOUS on se lève. Et ça, ça pu.

Vive l'Automne, à mort l'été. (le Printemps passe encore hein)



PS : Les fans (y'a pas) d'ELLEGARDEN pourront voir deux clins d'oeil dans ce post, mais comme personne ne partage mon amour de ce groupe, je suis obligé de vous les donner.
"The Autumn Song" hein, déjà, pis "It's time for ride", premières paroles de Surfrider Association, devenues hymne dans tous les concerts d'ELLE.
PS2 : Faites moi penser à faire mes maths, siouplé.

19 septembre 2007

Leçon n°1 : Regarder par la fenêtre

Y'a un truc qui occupe, et dont on se lasse jamais.

A l'abattoir, y'a des vues très agréables - y'a bien que les vues de fenêtre d'ailleurs...
Même lorsque c'est sur les bâtiments voisins, vôtre oeil - blasé par les paroles émanant de ce petit fonctionnaire se débattant corps et âme pour vous passionner dans ses délires scientifiques (ou pas) - se trouve soudainement titillé par un envol de pigeons ; groupé et bref, qui termine sa course ( " ...Dans la prairie de notre enfance... " *) un étage trop haut pour que vous puissiez les aperçevoir.

De l'autre côté du bâtiment, y'a vue sur l'arboretum du bahut.
Personellement, je ne me lasse jamais de regarder des feuilles d'arbres. Parce que la variété de verts (je parle de la couleur), c'est impressionnant. Mais bon, là c'est l'âme d'artiste incomprise qui s'exprime. (huhu ><) Bref, sinon desfois y'a vue sur d'autres classes, là on s'amuse parce que le petit fonctionnaire cité plus haut se dandine, se démene comme il peut pour interesser ses élèves, et trois fenêtres plus loin, on voit un de ces fameux élèves qui baille, mais d'une force comment il baille.


En conclusion - parce qu'il va falloir se remettre aux connecteurs logiques - on peut observer beaucoup de chose par la fenêtre, desfois même on voit des accidents évités de justesse sur la route voisine, c'est rigolo, et pis bon, tout le monde n'a pas la chance d'avoir Super Mario Bros sur sa calculette scientifique...

* ci-dessus la vue du grenier / mon vrai chez moi, que je ne cesse de contempler (même le matin à 6h30 : c'est beau)
* cf. Kaamelott - Yvain & Gauvain dans l'épisode "Les Alexandrins" (i think so)

11 septembre 2007

Jubilation rime avec Adaptation

Après avoir surmonté la première et dure épreuve de la rentrée, nous sommes fin prêts à affronter le premier trimestre. (non ?) (...vos gueules) (on ne conteste pas la parole divine)

Genre on connaît nos emplois du temps.
Style on est capable de suivre un cours Lamouresque sans s'écrouler de rire.
Et p'tet même qu'on se paume plus entre les couloirs et les moults étages...



Comme je vous le disait, la prof' de français est, en gros, l'exeption pour laquelle j'aime aller en cours.
Je fuis l'Histoire, parce que je pense trop à Chouchou.
Je prends la fuite aussi pour l'Espagnol et l'Anglais, car c'est respectivement l'emmerdement et le bordel qui font qu'on regarde par la fenêtre. (note : penser à faire un article sur " L'Art de la Fenêtre " )

Et j'vous parle même pas des Sciences...
Les Maths font exeption, parce qu'on s'marre bien.
Pour ses tics, à l'aut' tache là.
Ses répliques à répétitions, son accent tout pourri qui fait prendre un sens nouveau à des mots tel que "Zéro" ou "Au fait" sans oublier "C'est appétissant !". Mais il n'y a que pour ça, en fait.
La plupart du temps j'observe les matheux, tout contents d'éxhiber leurs résultats à des équations existentielles qui seront éffacées dans les cinq minutes suivantes...
Et là, je me dis que j'ai hâte de retourner en français.



Et puis entre deux cours chiants, il y a l'Amphi'.
L'Amphi, c'est top.
On dirait un skatepark tout petit, ou bien une piscine vide, au choix.
Des marches, des colonnes, des marches, et quand y'en a plus y'en a encore : c'trop bon.
Lorsque vient le temps d'un trou d'emplois du temps qui dure des heures, c'est là qu'on conte nos cours, qu'on se retrouve.
Le sol y est chaud, réchauffe le dos entre deux photos.












(Genoux de Mlle "...")


Bref, y'a encore du boulot, mais on commence à s'y faire. P't et même que dans le prochain post', je vous avouerais que passer la carte magnétique de la cantine dans sa borne est devenu un geste tout à fait banal. (ouais, mais là non) (moi j'ai les yeux qui brillent quand j'passe ma carte) (ixe-dé)




(Cadeau d'anniversaire, merci encore Cartman)

6 septembre 2007

Chez les grands

Aujourd'hui, nous étions lachés, en liberté dans ce monde hostile qu'est celui du lycée.
Le bahut comme disent les jeunes, les vrais.
Nous, on a l'air de vrais clampins.
Regardant tout autour d'eux avec des yeux de thon en rut.

C'est grand. C'est immense. Y'a trop d'salles. Y'a trop d'profs.
Trop d'profs qui ne valent pas ceux qu'on a quitté quelques mois auparavant. Dont les cours, la pédagogie, et la personnalité nous manquent. (listen to : Tout le Bonheur du Monde)

Mais il faut savoir tourner la page, dans deux trois mois on s'y sera fait.
On sera des grands, pis presque aptes à passer le BAC. ('y paraît)

En attendant, on se retrouve avec de parfaits inconnus. Et comme j'ai jamais été très douée dans les relations humaines, je me passerais bien de tout contact avec eux. Mais que voulez-vous, seule, on se paume dans les méandres de la mysanthropie. (j'ai testé pour vous)

Là, ça frise le philosophique, il est tard et il est temps d'aller se coucher pour recommencer demain, experimenter le deuxieme jour, pour voir...



Deuxieme jour (complet)
Bon là, j'crois que je suis fixée : C'est vraiment de la merde en branche.
L'prochain coup j'prend des tophs, (si j'ai pas la flemme) histoire que ça fasse moins sobre et pis bon, on commentera un p'tit peu la classe et les quelques profs qui valent le coup. (j'ai beau chercher, j'en trouve qu'une là : Frenchy. I love Frenchy)

To be continued...

J'ai pactisé avec le diable...

Je m'y prend un peu tard pour un évènement vieux de presque une semaine... (tain déjà)

Pré-rentrée à M-Jaune.
Oui, je sais, c'est mââl.
C'est plein de calories et de "mairdes" comme dirait notre invité mystère.
Cette dernière nous a bien fait rire (voir pleurer, j'assume, le coup du gerbage était vraiment hilarant).
Bref, un moment de plus avec ma comparse Cartman que je ne suis pas prête d'oublier.


Bon déjà, le coup du M-Jaune, nous sommes difficilement pardonnables. Mais allez importuner d'honnêtes travailleurs qui sue sang et eau pour gagner leur pain, je m'en voudrais presque.

Sans compter la pluie que nous nous sommes bien prises sur le coin de la face à un moment qu'on aurait voulu plus... convivial.

Mais ce fut tout de même une merveilleuse pré-rentrée qui nous fit presque oublier que le lendemain, on était des grandes.

Perché lo gradirà sempre...

{Pas de photo, because secret professionnel
mais je vais essayer de trouver un truc qui va bien résumer la journée}
{EDIT : Photo'find =D)

29 août 2007

Pékita-Land


Péki-Land à la tombée de la nuit a des airs de Brockeback Montain...




Parce qu'on a toutes, ou presque, des anniversaires rapprochés, on fête celui de Pékita (Mlle. Points de Suspension) et celui de notre chère Anaïs (une pov' fille qui me nargue avec un katana =p), en même temps.
Oui oui, en même temps, parce qu'on est des folles.


Donc, ce coup ci, c'était ambiance 100% féminine.
Ambiance 100% mélancolie.
Ambiance nuit blanche et lèchage de miches entre grosses lesbiennes à 5h du matin.
Ambiance Walt Disney avec toutes les B.O du Roi Lion.



Et tout ceci dans la joie et la bonne humeur.



Notons cette année une grosse nouveautée : nous sommes devenues des grandes perverses avec l'âge. Non vraiment, un an après, et que j'te parle des fantasmes les plus inavouables, et qu'au bout de 2 jours de réflexion intense sur toi même tu te rends compte que, pouf pouf, te voilà in love et que non, tu n'es pas encore tout à fait bisexuel. (ah mais c'est donc ça !)

Mais bon, j'les aimes quand même ces grosses lesbos, et l'année prochaine on passe à l'acte, parce que c'est bien beau de parler hein.

24 août 2007

Chouille Forest, Chouille !!!

Chouillez tant que vous le pouvez...

Surtout, dans la limite du possible, vous initiez vos amis au jeu du barreau.

Surtout, vous n'oubliez pas de ramener de la vodka trop chaude hein. (=D)

Par dessus tout, vous n'oubliez pas de la bonne musique pour une queu-leuleu de fôôôliiiie.

Et après ça, une bonne nuit de pas-sommeil.

Han les pleutres, vous avez failli oublier les amis....



Xavier et sa grappe. (dont on ne voit que le front)
Liz' qui ressemble un petit peu à Ralf... ou au Camel sur les paquets de clopes, j'hésite.
Perrine ('Zelle Points-de-suspenssion) avec la pause typique du vermiceau.
Alexis, qui imite probablement un mec qui fait face à vent de 120km/h (?).
Et Cartman / Cam' (puisqu'elle n'aime pas quand je l'appelle pas son p'tit surnom) dans le rôle du vermiceau, oui, mais concentrée ! (because c'est elle qui tient l'appareil, héhé)







Sans oublier les autres qui se sont barrés quelques heures avant, Clara (et sa pédagogie pour les jeux de société àlakon), la Présidente du Commité des Blondes : Gladys, Anaïs, Mr.Roux, Bastinou et pis pour le plaisir je met aussi Xavier dans cette liste puisqu'il s'est barré le p'tit saloupio. =p (t'as raté Camille qui riait pour quedal avant de sombrer dans les bras de Morphée, tant pis pour towa)

Et tout ce joli petit monde a contribuer au plus inoubliable anniversaire que j'ai jamais eu.
Avec des pleurs sur Sinsemilia, des projets qui ont ravis certaine, des prises de conscience qui ont déplues à d'autres, un gros fou-rire, de la bouffe en veux-tu en voilà, des histoires qui font peûûûr, des rêves de psychopathes, des pensées pour Chouchou, ...




Kézavé dit ? Ah oué, on remet le couvert cet après-midi, avec une assistance 100% féminine, par contre. Mais :

"WouHouUuUuUuUu !!"

2 août 2007

Penser a...


Cherchez l'intrus.

22 juillet 2007

Je dépense, pour ne plus penser

Ci-dessus derniers investissements en date.
Bestouf Oasis ; 5 de Lenny Kravitz (merci Cartman pour ces recherches acharnées) ; Children of the light des Jackson 5 et Onimusha (un vieux jeu de 2001 apacher du tout)


Mais voilà, dès que je met Lenny, je tombe sur des chansons mélancoliques. Genre I Belong to You (Je t’appartiens). Alors bon, je change, je met Mimi, et c'est le même topo. Ca vient de moi, y'a pas de doute.
Ils veulent que je me tire une balle ou quoi ces p'tits cons ?

Un rien, n'importe quelle parole, n'importe quelle mélodie me rappelle lui, me rappelle ce week-end dont je n'ai pas su profiter. Ce week-end qui sent encore l'Axe et le J-C à plein nez. Peut-être le dernier week-end d'ailleurs...

Alors je me rabas sur les livres. Des trucs datant des années 70 voir 50 quand chui motivée. Mais rien, je relis la même ligne, en pensant à tout autre chose. Le pire, c'est quand je tombe sur le verbe "joviale".

Dernière solution : un film.
Je test des trucs qui me font d'habitude pleurer de rire. (Frankenstein Junior - Mel Brooks, Sacré Graal - Monty Python) Mais queud', je les trouve ridicules.
Pensant que ça vient de mon cerveau qui aurait, exeptionellement, retenu toutes les répliques et passages de ces films, je change, je met des nouveaux, des trucs que je connois point.

Le vent se lève, film sur la guerre pour l'obtention de l'indépendance Irlandaise en 1920. Qui finit mal, et donc qui fout le boeuf. (pure curiosité, je me shoot au U2 et j'avais envie d'en savoir plus...)

Je vais bien, ne t'en fais pas. No comment. J'aurais due me méfier en voyant de qui ça venait...


La prochaine photo devrait être un noeud coulant, je pense. xD




Vue de la fenêtre de Cartman, avec qui j'ai passé
une super bonne après-midi. (qui m'a limite changé les idées)



PS : Signalons tout de même UNE nouvelle réjouissante : le retour de la colo, et donc de Xavier et Roux. =]

18 juillet 2007

Fête Nationale et Sainte Cartman














J'avais besoin de place sur l'appareil photo et boum, qu'est-ce-qu'on se rappelle ?
Qu'on a prit quelques photos de la Fête Nationale et que donc on les met because les présentes ce jour ci ne les ont pas vues.

Ci-contre, une photographie que j'ai appellé La réfléxion du vermiceau. (qui méritait d'être immortalisé puisque rarissime)

...



...

...

12 heures durant lesquelles je me
suis majoritairement plaint.
J'en suis désolée.
(J'ai soif non de dieu d'merde)


...




Editerais plus tard : Go to Azy. Charmante petite bourgade en plein coeur de rien.
(and see Chouchou !)

17 juillet 2007

Japan !

De suite après ces courtes heures passées avec la joyeuse troupe, direction Panam' -> Parc des Expos - Paris Nord Villepinte.

Séjour inoubliable puisque premier du genre. (j'étais la liberté même, l'espace de 6h)

Bon, je commence avec des trucs que tout le monde connait, ensuite ce que tout le monde doit connaître.


"Oh vas-y Cricri - Cricri ! - C'est toi qui conduiiiit"



Si votre voisin n'a pas reconnu Ossatueur ou Pikachu, dénoncez le, que j'lui foute la honte.



Bon alors là attention, je vais essayer d'enrichir votre culture. Kingdom Hearts 2 avec des cosplays de Roxas, un mec de l'Organisation XIII, Sora et Axel.
(je sais qu'on s'en fout, mais les costumes sont bien faits... sisi)


L'original. {+}
Perso, regarder le mec qui se gratte le menton derrière, je m'en lasse pas.
PS pour Lise : C'est à ce moment que jeme suis faite agresser par ces
Emo à la con...

Bon après, j'ai de la photo moins accessible... qui appartient au privée quoi.



Des Pampas n'ont pas droit à l'intimité ?
(Pampa d'Alex et de moi-même)


Alors voilà.
Et cherchez pas, y'aura pas de photos de Poussin.

Après l'effort...


Cette foire me paraît déjà lointaine, et me donne encore plus envie de refaire un truc inoubliable avec vous.

Parceque franchement, la tronche de Lise dans le Terminator... gravé dans la mémoire nan ?

Les magnifiques tentatives d'attrapage de Bob. (merci pour ta patience Bastien)
Alexis dépité car perdu tout son pognon, splendide.
Justine, pas rassuré du tout dans la grue de 45 mètres de haut. (en plus du Terminator... c't'une folle cette fille)

Et exeptionellement, parceque c'est les vacances et parceque la moitié d'entre vous ne verrons jamais ce blog, je le dis comme je ne l'ai jamais dis : Je vous adore.
(ouais je sais, avec moi, ces mots prennent tout leur sens - c'est ma bouche qui fait ça)

...

Liz' | Perrine | Alexis | Anne | Ba'r'tien | Roux | Cartman

...

Prochaines photos : Soirée tente chez Cartman, puis chez Perrine. (Mlle.Point-de-suspension)

4 juillet 2007

Bonus de douze heures

Et j'aurais tant aimer plus encore...

C'est les doigts tremblotant et la larme à l'oeil (c'est très serieux) que j'essaie de régider ces quelques lignes. Aujourd'hui ce sont écoulées les trois heures les plus indescriptibles de notre longue vie d'élève. Trois heures durant lesquelles la carapace du plus inoubliable des profs d'histoire a complètement volée en éclats.



...

Le soucis, c'est que j'arrive pas à aligner trois phrases sans verser une larme. (il a de quoi être fier le Chouchou) Donc esseyons de ne plus y penser, de se dire qu'on le reverra (ça c'est certain) et que les relations seront semblables exactement pareilles identiques de même.

Qu'ajouter de plus ? Qu'on l'aime ? Il l'a tant entendu, tant lu, que ça ne doit plus lui dire grand chose. Sauf peut-être si on vient lui rappeller, tous les ans, à la même date...




Comment peut-il croire qu'on l'oubliera un jour ?


[Message à terminer sans fondre en larmes...]

2 juillet 2007

Renouvellement musical


Il est temps de balancer des noms.
Mais, droit de réserve oblige, limitons nous aux surnoms.
Cisheure, c't'un fou. Surtout quand lui et Serge font des buff'... han, j'ai dis "Serge" ? N'y a-t-il point de surnom pouvant qualifié un tel homme ? Mais là j'l'encense, et j'ai pas l'habitude d'encenser les gens que j'apprécit...

Bon bref, ils nous ont fait rêver. Fin moi, pas particulièrement hein (mytho ?), mais surtout les guitaristes de la classe. On sentait bien, que dans le fond de leurs yeux, une petite lueur compétitive disait "Serge, j'vais t'marrav'... un jour...".
Rêvant, prochainement, d'égaler leurs talent, ils ont observé et ont assisté, niais devant une telle technique, et un défilé de titres connus (ou pas).



Patoche, lui, dans un style plus proche du peuple, nous a proposé un joli remix de "Foule Sentimentale" (ouais, encore, et alors ?) et... j'sais plus enfait. [Signalons que nous n'avons pas eu de Johnny. C't'un fait mémorable]

Je ne commente pas les trois heures Druniennes. Enormissimes, sauf quand ça meugle, qu'ça braille, qu'ça me rapelle le CE2. Donc énormissimes, mais pas longtemps. (s'en fous, on se remet ça Mercredi)

I'm a paparazzi !

Et là...




...ça bosse hein.




Photos volées pour le Mag' Du Fonctionnaire 2006-2007 à une distance de ~50 mètres, planquée derrière une foule d'élèves bien intentionnés.

27 juin 2007

DNB

Ca, c'est fait.



Reste plus que les résultats à attendre, et les derniers moments au collège à passer.
A cette occasion, nous avons eut le plaisir d'assister à une séance de port'nawak de Cisheure*.


La cocotte à Cisheure, c'est collector. (les doigts appartiennent à son créateur)

Du coup, on a tout balancé. Tout.
La voix sensuelle de Stalonne*, le string de Jean-Jean*. Des trucs qu'il aurait jamais du savoir.
Parceque desfois, Cisheure, c'est une balance. Desfois seulement.
Il était tellement reconnaissant pour toutes ces confidences, qu'on (Maëliss et moi-même) (Cartman*, t'as raté ça) a eu droit à un petit bal de klaxon à la sortie même de l'Abatoir. Trop fort Cisheure, parceque ça a fait sourire JJ. :]

...Mais 'tain, on s'est quand-même bien fait pigeonner sur ce coup...

----------------
*Cisheure = César R.
*Stalonne = autre professeure d'espagnol à l'organe particulièrement... particulier.
*Jean-Jean = JJ / Cricri
*Cartman = Camille

23 juin 2007

Pêché vidéoludique

C'est fou, comme un jeu vidéo peut avoir un tel pouvoir attractif, qu'à la place de réviser on peut se retrouver à jouer deux heures non-stop.
C'est marrant, parcequ'à chaque chargement de ce même jeu, on regarde la pile de livres et on se dit : "Allez
quoi... on est déjà samedi, mé'zy toi...". Hé ben rien n'y fait. On préfère matter un Prince Perse aux yeux bleus que fournir l'effort de prendre un livre dans cette pile.
Encore, prendre un livre, ça desfois j'y arrive. Nan, le pire c'est le lire, et s'en souvenir.

Alors j'ai pris une grande décision : plus de Prince de Perse ce week'.
On ne courera plus sur les murs ensemble, on n'égorgera plus du monstre des sables tous les deux, c'est finit entre nous.

Le pire c'est que je vais devoir faire la même chose avec Marcel*. Et ça, c'est moche. J'sens qu'ils vont me faire la gueule après ça.

*L'intitulé de mon PC.

22 juin 2007

Faisez de la zik

Voilà.
Aujourd'hui, c'était la dernière journée avant les fatidiques heures du brevet.
Demi-journée qui, à mon grand étonnement, restera longtemps dans ma mémoire. (dieu que c'est beau)

Voyez plutôt :
Tout commenca la veille, le jeudi 21 par conséquent (ça suit !). Faisez de la musique, faisez de la chouille, mais pas trop parceque demain y'a école.

Gentille fifille, j'accepte de me rendre au petit concert donné par l'école de musique de St-Germain. (petit bourg charmant, nan vraiment) Hop que j't'embarque dans la voiture et que une heure non-stop à écouter du Abba et manger des frites.
Dis bonjour à la dame, salut le monsieur, dis merci à la dame.
Bref, après ça, nous partagâmes un petit bout de sandwich, en parlant du lendemain. Que chacun s'arme de son instrument, et nous jouerons au troubadour dans l'enceinte du château collégial. Déjà, ça sentait pas frais.

Après ça, telles des aventurières unies, soudées dans la progression à travers la jungle urbaine que constitue Bourges en pleine Fête de la musique, Cartman (Camille), Perrine (...) (voyez, chaque point est à la taille de Perrine xD) et moi même avons pu observer la jeunesse dans les rues du centre-ville.

On a pas vraiment eut le temps de constater à quel point cette jeunesse n'était pas fraîche (du tout), puisque nous sommes restés une petite heure seulement.
Nous avons tout de même eut le temps d'écouter d'assez bons groupes. Bref, sans plus quoi. (profiteras mieux l'année prochaine) Et hop, au pieu.

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Comme convenu la veille, j'ai cédée, saisi le djembé, et hop que j't'embarque encore dans la voiture.
Je voulais éviter de croiser du monde avec la bêêête, donc j'ai fais en sorte d'arriver à la bourre à l'Abatoir. (oui, je suis une rebelle. desfois même, j'arrive deux minutes après hein...)
Loupé, mais c'était plaisant, je faisait découvrir, c'était rigolo.
Que de joie lorsque je vit quelques jeunots armés de guitares et d'amplis : "On va chouilllllller !!"

8h-9h :
Le premier cours durant lequel, normalement, je prolonge ma nuit, fut lieu de moults grattages de cordes et de buff forts plaisants.
Moi qui croyait qu'on allait se retaper Streets of London, Let it be et Yesterday, le djembé à bien opéré et on s'est bien fendue la face.
J'en suis arrivée à la conclusion que les vannes pourries de Patoche allaient me manquer. (peut-être même Patoche en lui même... Nannnn, faut pas déconner non plus)

9h-10h :
Préalablement convenue, nous passâme l'heure à squatter tel des bulots accrochés à leurs rocher, la salle de musique. Sauvés des petits 6ème d'une heure d'ennuie certaine. Bref, on est des héros.

Sophia m'a fait rêver ("Oh oui, joue moi du Mozart"). Laure s'est planté (il n'était que 9h...). Et nous avons chantés. Bon sinon ce fut une véritable cacophonie, le genre de truc qui vous fout un mal de crâne, j'vous raconte pas.

Pause gratte :
T'allumes ton ampli.
Tu t'lèves.
Et tu grattes, et tu grattes, et tu grattes.
Et éventuellement, quand tu t'appelle Guillaume, tu te jetes dans le "public". (le terme "foule indispersable puisque nombreuse" conviendrait mieux) (y'en a qu'on essayé hein)

PS : Notons que, durant cette pause, nous avons pu apercevoir un intru : Chouchou.
"Yeaaaah, he's here !" "Why not ?" >.<

Chouchou et son sourire incroyablement sexy. (sisi)
Note : Avec la participation - au niveau des jambes - de Justine.



10h-11h :
Tombage de nus, sur le fessards, "Ca trou l'cul".
Nanard, le prof' qui paraissait tout le contraire, est en fait un jazzeu de talent. Qui l'eût cru ?
On en a appris plus sur lui, c'était plaisant. Encore une fois, cacophonie, puissant. Mais marrant.

11h-12h :
Trop bon, trop court.
Internationawl Fiesta. Mémorable, ne serais-ce que pour les spécialitées anglaises que les élèves de la classe Euro' nous ont servis ; Satisfaction dont personne ne connaissait les paroles ; le plaisir de revoir Cricri avant le jour fatidique ; la jubilation d'entendre enfin notre Sergito gratter. (quoi que, ça ne s'apelle plus gratter là...) (enfait, j'crois que je vais créer une religion, la Bernardinité) ; et le plaisir ultime de se payer un buff avec l'excellent (oui, je l'admet) guitariste qu'est Cisheure.


Finalement, j'ai pas r'grettée d'avoir saisi la bête ce matin là.



Observez le regard pervers du Bigorneau, en bas à gauche...
(je ne commente pas l'instant durant lequel j'ai voulu caler la vidéo... :] )
(un indice en bas de votre écran : fond de la pièce - assemblée de gauche, et de droite)

"Let's begin !"

Le blog blanc, c'est un truc auquel j'ai pensé.
Après je me suis dis qu'éventuellement je pourrais avoir des choses à dire, à y mettre.
Je me demande encore quoi, mais ça va venir. (c'est parceque c'est blanc là, enfait)

Nan, j'ai une vie ennuieuse. Tellement, que je trouve le temps de faire un blog. (non non, je veux pas dire que les gens qui font des blog ont des vies ennuieuses... nanananan. C'est juste que j'ai toujours étée hostile aux blogs, estimant que je n'avais rien à y rapporter) (vous remarquerez que je suis hostile à pleins de choses)

Du coup je m'essaie, je me test à cette activité ultra fun et bigarée.

Alors bon, comme chui béotienne en la matière, j'ai regarder un peu comment les gens y' faisaient pour se présenter, au tout début. Et après je me suis dis, mais si les gens viennent, je les connais, qu'ils me connaissent quoi, puisque je leurs ai donner l'adresse. (hé, pas con Tantance)

Du coup j'ai plus rien à dire, mais ça va venir hein.