6 septembre 2007

Chez les grands

Aujourd'hui, nous étions lachés, en liberté dans ce monde hostile qu'est celui du lycée.
Le bahut comme disent les jeunes, les vrais.
Nous, on a l'air de vrais clampins.
Regardant tout autour d'eux avec des yeux de thon en rut.

C'est grand. C'est immense. Y'a trop d'salles. Y'a trop d'profs.
Trop d'profs qui ne valent pas ceux qu'on a quitté quelques mois auparavant. Dont les cours, la pédagogie, et la personnalité nous manquent. (listen to : Tout le Bonheur du Monde)

Mais il faut savoir tourner la page, dans deux trois mois on s'y sera fait.
On sera des grands, pis presque aptes à passer le BAC. ('y paraît)

En attendant, on se retrouve avec de parfaits inconnus. Et comme j'ai jamais été très douée dans les relations humaines, je me passerais bien de tout contact avec eux. Mais que voulez-vous, seule, on se paume dans les méandres de la mysanthropie. (j'ai testé pour vous)

Là, ça frise le philosophique, il est tard et il est temps d'aller se coucher pour recommencer demain, experimenter le deuxieme jour, pour voir...



Deuxieme jour (complet)
Bon là, j'crois que je suis fixée : C'est vraiment de la merde en branche.
L'prochain coup j'prend des tophs, (si j'ai pas la flemme) histoire que ça fasse moins sobre et pis bon, on commentera un p'tit peu la classe et les quelques profs qui valent le coup. (j'ai beau chercher, j'en trouve qu'une là : Frenchy. I love Frenchy)

To be continued...

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